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Les deux soeurs et leur mère. Anthropologie de l' inceste / Françoise HERITIER
Titre :
Les deux soeurs et leur mère. Anthropologie de l' inceste
Type de document :
texte imprimé
Auteurs :
Françoise HERITIER, Auteur
Editeur :
Odile Jacob
Année de publication :
1997
Importance :
332
Langues :
Français (fre)
Catégories :
Ethnologie - anthropologie:milieu familial - couple
SOCIOLOGIE :milieu familial - couple
Les deux soeurs et leur mère. Anthropologie de l' inceste [texte imprimé] / Françoise HERITIER, Auteur . - [S.l.] : Odile Jacob, 1997 . - 332.
Langues : Français (fre)
Catégories :
Ethnologie - anthropologie:milieu familial - couple
SOCIOLOGIE :milieu familial - couple
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 11956 PSY HER Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
La violence ordinaire dans les organisations. Plaidoyer pour des organisations réflexives / Gilles HERREROS
Titre :
La violence ordinaire dans les organisations. Plaidoyer pour des organisations réflexives
Type de document :
texte imprimé
Auteurs :
Gilles HERREROS, Auteur
Editeur :
Erès
Année de publication :
2012
Importance :
195 p
Note générale :
La violence ordinaire perpétrée au quotidien dans les organisations se distingue de la violence physique, de la violence perverse, ou de celle liée aux conditions de travail particulièrement pénibles de certains milieux ou activités professionnels. Gilles Herreros s'attache ici à décrire et analyser la violence banale exercée par un petit chef, un grand cadre, un collègue de travail, vous ou moi peut-être même, car il défend l'idée que la percevoir est indispensable pour s'y opposer. À travers des récits mettant en scène des situations de travail analogues à celles que chacun peut avoir vécu, l'auteur montre comment la violence se tisse au jour le jour. Pour se perpétrer, comme pour se perpétuer, elle a besoin de l'indifférence voire de l'acceptation du plus grand nombre. Les petits renoncements, les cécités multipliées, les questionnements liquidés, chaque jour répétés par les uns, fabriquent des mécaniques qui détruisent les autres. Et si les systèmes managériaux génèrent de la violence, il est important de ne pas diluer les responsabilités de ceux qui la rendent possible. Toutefois, il n'y a aucune fatalité à ce phénomène. L'auteur plaide pour la mise en place d'organisations « réflexives » valorisant une appréhension clinique des procès de travail et le déploiement d'une critique réhabilitant la subjectivité et l'intersubjectivité. Qu'il soit porté par le sociologue d'intervention ou par ceux qui ont en charge le pilotage des organisations, ce changement suppose l'adoption de postures inhabituelles en entreprise, et qui seraient pourtant salutaires : négativité, intranquillité, attention au sujet... SOURCE : http://www.editions-eres.com
Langues :
Français (fre)
Note de contenu :
acq septembre 2012
La violence ordinaire dans les organisations. Plaidoyer pour des organisations réflexives [texte imprimé] / Gilles HERREROS, Auteur . - [S.l.] : Erès, 2012 . - 195 p.
La violence ordinaire perpétrée au quotidien dans les organisations se distingue de la violence physique, de la violence perverse, ou de celle liée aux conditions de travail particulièrement pénibles de certains milieux ou activités professionnels. Gilles Herreros s'attache ici à décrire et analyser la violence banale exercée par un petit chef, un grand cadre, un collègue de travail, vous ou moi peut-être même, car il défend l'idée que la percevoir est indispensable pour s'y opposer. À travers des récits mettant en scène des situations de travail analogues à celles que chacun peut avoir vécu, l'auteur montre comment la violence se tisse au jour le jour. Pour se perpétrer, comme pour se perpétuer, elle a besoin de l'indifférence voire de l'acceptation du plus grand nombre. Les petits renoncements, les cécités multipliées, les questionnements liquidés, chaque jour répétés par les uns, fabriquent des mécaniques qui détruisent les autres. Et si les systèmes managériaux génèrent de la violence, il est important de ne pas diluer les responsabilités de ceux qui la rendent possible. Toutefois, il n'y a aucune fatalité à ce phénomène. L'auteur plaide pour la mise en place d'organisations « réflexives » valorisant une appréhension clinique des procès de travail et le déploiement d'une critique réhabilitant la subjectivité et l'intersubjectivité. Qu'il soit porté par le sociologue d'intervention ou par ceux qui ont en charge le pilotage des organisations, ce changement suppose l'adoption de postures inhabituelles en entreprise, et qui seraient pourtant salutaires : négativité, intranquillité, attention au sujet... SOURCE : http://www.editions-eres.com
Langues : Français (fre)
Note de contenu :
acq septembre 2012
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20962 PSY HER Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Les deux soeurs et leur mère. Anthropologie de l' inceste / Françoise HERITIER
Les deux soeurs et leur mère. Anthropologie de l' inceste [texte imprimé] / Françoise HERITIER, Auteur . - [S.l.] : Odile Jacob, 1997 . - 332. Langues : Français (fre)
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Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Statut | Disponibilité |
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11956 | PSY HER | Livre | Etagères de la bibliothèque | Sociologie - Anthropologie | Inventorié | Disponible |
La violence ordinaire dans les organisations. Plaidoyer pour des organisations réflexives / Gilles HERREROS
La violence ordinaire dans les organisations. Plaidoyer pour des organisations réflexives [texte imprimé] / Gilles HERREROS, Auteur . - [S.l.] : Erès, 2012 . - 195 p. La violence ordinaire perpétrée au quotidien dans les organisations se distingue de la violence physique, de la violence perverse, ou de celle liée aux conditions de travail particulièrement pénibles de certains milieux ou activités professionnels. Gilles Herreros s'attache ici à décrire et analyser la violence banale exercée par un petit chef, un grand cadre, un collègue de travail, vous ou moi peut-être même, car il défend l'idée que la percevoir est indispensable pour s'y opposer. À travers des récits mettant en scène des situations de travail analogues à celles que chacun peut avoir vécu, l'auteur montre comment la violence se tisse au jour le jour. Pour se perpétrer, comme pour se perpétuer, elle a besoin de l'indifférence voire de l'acceptation du plus grand nombre. Les petits renoncements, les cécités multipliées, les questionnements liquidés, chaque jour répétés par les uns, fabriquent des mécaniques qui détruisent les autres. Et si les systèmes managériaux génèrent de la violence, il est important de ne pas diluer les responsabilités de ceux qui la rendent possible. Toutefois, il n'y a aucune fatalité à ce phénomène. L'auteur plaide pour la mise en place d'organisations « réflexives » valorisant une appréhension clinique des procès de travail et le déploiement d'une critique réhabilitant la subjectivité et l'intersubjectivité. Qu'il soit porté par le sociologue d'intervention ou par ceux qui ont en charge le pilotage des organisations, ce changement suppose l'adoption de postures inhabituelles en entreprise, et qui seraient pourtant salutaires : négativité, intranquillité, attention au sujet... SOURCE : http://www.editions-eres.com Langues : Français (fre)
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Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Statut | Disponibilité |
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20962 | PSY HER | Livre | Etagères de la bibliothèque | Sociologie - Anthropologie | Inventorié | Disponible |
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