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Psychologie, psychanalyse
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Champ psy, n° 60. Au coeur de la relation entre mère et fille : quelle transmission pour la haine / Catherine DUPUIS-GAUTHIER
Titre de série : Champ psy, n° 60 Titre : Au coeur de la relation entre mère et fille : quelle transmission pour la haine Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine DUPUIS-GAUTHIER, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 125-140 Note générale : La clinique psychanalytique confronte régulièrement à la haine comme composante fondamentale du lien mère-fille. Cet article traite de sa transmission et de ses conséquences psychiques, à partir de la littérature et du travail psychothérapeutique auprès de jeunes patientes, réputées difficiles. Structurellement différente de la notion d’ambivalence, largement étudiée par Freud, la haine de la mère est envisagée dans ses liens avec l’infertilité –à laquelle conduisent inévitablement les ravages du temps - et l’envie qu’elle génère envers la fille - devenue adolescente - comme future mère potentielle. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq septembre 2013 Champ psy, n° 60. Au coeur de la relation entre mère et fille : quelle transmission pour la haine [texte imprimé] / Catherine DUPUIS-GAUTHIER, Auteur . - 2011 . - 125-140.
La clinique psychanalytique confronte régulièrement à la haine comme composante fondamentale du lien mère-fille. Cet article traite de sa transmission et de ses conséquences psychiques, à partir de la littérature et du travail psychothérapeutique auprès de jeunes patientes, réputées difficiles. Structurellement différente de la notion d’ambivalence, largement étudiée par Freud, la haine de la mère est envisagée dans ses liens avec l’infertilité –à laquelle conduisent inévitablement les ravages du temps - et l’envie qu’elle génère envers la fille - devenue adolescente - comme future mère potentielle.
Langues : Français (fre)
Note de contenu : acq septembre 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21099 ART.NUM 10130 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Champ psy, n°62. Les corps honteux dans la clinique et dans l'art / Simone KORFF-SAUSSE
Titre de série : Champ psy, n°62 Titre : Les corps honteux dans la clinique et dans l'art Type de document : texte imprimé Auteurs : Simone KORFF-SAUSSE, Auteur Année de publication : 2012 Importance : 89-98 Note générale : La honte s’exprime souvent par le corps, et de manière privilégiée par la peau. S’éloignant du modèle psychanalytique traditionnel qui considère ces manifestations comme des symptômes, l’auteure voudrait montrer que l’expressivité de la peau peut être source de créativité. Frontière entre l’intérieur et l’extérieur, la peau rend visible ce qui devrait rester caché, dans un jeu avec le regard et le narcissisme, en excès ou en défaut, comme le montrent deux cas cliniques. Le corps honteux est représenté dans l’art, en particulier dans l’iconographie de l’Homme de Douleur, et plus récemment par le peintre Jean Rustin. SOURCE : revue
Langues : Français (fre) Note de contenu : acq juillet 2013 Champ psy, n°62. Les corps honteux dans la clinique et dans l'art [texte imprimé] / Simone KORFF-SAUSSE, Auteur . - 2012 . - 89-98.
La honte s’exprime souvent par le corps, et de manière privilégiée par la peau. S’éloignant du modèle psychanalytique traditionnel qui considère ces manifestations comme des symptômes, l’auteure voudrait montrer que l’expressivité de la peau peut être source de créativité. Frontière entre l’intérieur et l’extérieur, la peau rend visible ce qui devrait rester caché, dans un jeu avec le regard et le narcissisme, en excès ou en défaut, comme le montrent deux cas cliniques. Le corps honteux est représenté dans l’art, en particulier dans l’iconographie de l’Homme de Douleur, et plus récemment par le peintre Jean Rustin. SOURCE : revue
Langues : Français (fre)
Note de contenu : acq juillet 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21089 ART.NUM 10127 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Che vuoi ?, n° 35. Le rêve comme figure transitionnelle / Pascale HASSOUN
Titre de série : Che vuoi ?, n° 35 Titre : Le rêve comme figure transitionnelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale HASSOUN, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 95-102 Note générale : Il y a de nombreuses façons d’envisager la place de la formation du rêve dans la vie psychique et dans la cure. Je choisirai l’angle du rêve comme moteur de la cure chez des patients aux prises avec une angoisse de l’informe, ou des patients aux prises avec la difficulté d’exister ou éprouvant certaines formes d’angoisse psychotiques. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq juin 2015 Che vuoi ?, n° 35. Le rêve comme figure transitionnelle [texte imprimé] / Pascale HASSOUN, Auteur . - 2011 . - 95-102.
Il y a de nombreuses façons d’envisager la place de la formation du rêve dans la vie psychique et dans la cure. Je choisirai l’angle du rêve comme moteur de la cure chez des patients aux prises avec une angoisse de l’informe, ou des patients aux prises avec la difficulté d’exister ou éprouvant certaines formes d’angoisse psychotiques.
Langues : Français (fre)
Note de contenu : acq juin 2015 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21286 ART.NUM 10165 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible La clinique lacanienne, n° 20. Le suicide / Monique LAURET
Titre de série : La clinique lacanienne, n° 20 Titre : Le suicide Type de document : texte imprimé Auteurs : Monique LAURET, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Erès Année de publication : 2012 Note générale : Le suicide illustre le travail de la pulsion de mort toujours à l'oeuvre. L'autodestruction est pour Freud toujours active, il a été de plus en plus convaincu tout au long de son élaboration théorique de cette bipolarité originelle de l'existence. Qu'en est-il d'un véritable désir de mort du patient « suicidant » ? Le plus souvent, il clame son innocence dans un « Je ne voulais pas mourir », mais son acte interpelle vivement le désir du soignant comme celui de l'analyste. Cet acte est aussi loin d'être sans valeur. N'est-il pas prétexte à réinterroger le désir ? Ce numéro se propose d'examiner différentes formes de suicide selon l'éclairage clinique et l'abord théorique des auteurs. SOURCE : http://www.editions-eres.com Langues : Français (fre) La clinique lacanienne, n° 20. Le suicide [texte imprimé] / Monique LAURET, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [S.l.] : Erès, 2012.
Le suicide illustre le travail de la pulsion de mort toujours à l'oeuvre. L'autodestruction est pour Freud toujours active, il a été de plus en plus convaincu tout au long de son élaboration théorique de cette bipolarité originelle de l'existence. Qu'en est-il d'un véritable désir de mort du patient « suicidant » ? Le plus souvent, il clame son innocence dans un « Je ne voulais pas mourir », mais son acte interpelle vivement le désir du soignant comme celui de l'analyste. Cet acte est aussi loin d'être sans valeur. N'est-il pas prétexte à réinterroger le désir ? Ce numéro se propose d'examiner différentes formes de suicide selon l'éclairage clinique et l'abord théorique des auteurs. SOURCE : http://www.editions-eres.com
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20869 PSY LAU Livre Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques, n° 1. Comment contenir ce qui nous est étranger ? La réunion soignant-soignés à Orgemont / Catherine DUCARRE
Titre de série : Cliniques, n° 1 Titre : Comment contenir ce qui nous est étranger ? La réunion soignant-soignés à Orgemont Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine DUCARRE, Auteur Année de publication : 2011 Importance : p. 78-92 Note générale : Certes, on n’enferme plus indifféremment les fous, les criminels ou les débauchés, on a appris à traiter les symptômes les plus dérangeants de la maladie mentale, mais l’incompréhension et l’exaspération guettent tous les soignants face à l’inguérissable, à ce qui résiste à toutes les tentatives de soin. Bien sûr, les infirmiers, psychiatres, psychologues sont pleins de bonnes intentions, mais l’enfer en est pavé. Si l’on ne prend pas garde à repérer et analyser nos contre-transferts négatifs, et en premier lieu, si l’on ne prend plus la peine d’écouter et d’essayer d’imaginer – à défaut de comprendre – la souffrance qui se cache derrière tout comportement d’un patient « difficile », se joue alors l’expérience du déshumain telle que l’a décrite Pierre Fédida : "Au moment où est perdue toute ressemblance, où est perdue au travers de toute ressemblance toute possibilité d’un semblable". C’est à partir de ce type de constat que s’est constituée la psychothérapie institutionnelle après la Seconde Guerre mondiale. Retenons-en la vision centrale : on ne peut prendre soin des malades mentaux que si on les considère comme des sujets à part entière. Son corollaire est qu’on ne peut correctement soigner les individus qu’en soignant aussi l’institution, par le questionnement permanent du cadre et de la finalité des soins et en portant attention aux transferts et contre-transferts entre malades et institution psychiatrique. Cette vision est plus que jamais d’actualité et c’est elle qui nous a animés lorsque l’équipe d’Orgemont a ouvert l’unité de coopération en 2005 et a décidé d’emblée de mettre en place des réunions soignants-soignés. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq février 2016 Cliniques, n° 1. Comment contenir ce qui nous est étranger ? La réunion soignant-soignés à Orgemont [texte imprimé] / Catherine DUCARRE, Auteur . - 2011 . - p. 78-92.
Certes, on n’enferme plus indifféremment les fous, les criminels ou les débauchés, on a appris à traiter les symptômes les plus dérangeants de la maladie mentale, mais l’incompréhension et l’exaspération guettent tous les soignants face à l’inguérissable, à ce qui résiste à toutes les tentatives de soin. Bien sûr, les infirmiers, psychiatres, psychologues sont pleins de bonnes intentions, mais l’enfer en est pavé. Si l’on ne prend pas garde à repérer et analyser nos contre-transferts négatifs, et en premier lieu, si l’on ne prend plus la peine d’écouter et d’essayer d’imaginer – à défaut de comprendre – la souffrance qui se cache derrière tout comportement d’un patient « difficile », se joue alors l’expérience du déshumain telle que l’a décrite Pierre Fédida : "Au moment où est perdue toute ressemblance, où est perdue au travers de toute ressemblance toute possibilité d’un semblable". C’est à partir de ce type de constat que s’est constituée la psychothérapie institutionnelle après la Seconde Guerre mondiale. Retenons-en la vision centrale : on ne peut prendre soin des malades mentaux que si on les considère comme des sujets à part entière. Son corollaire est qu’on ne peut correctement soigner les individus qu’en soignant aussi l’institution, par le questionnement permanent du cadre et de la finalité des soins et en portant attention aux transferts et contre-transferts entre malades et institution psychiatrique. Cette vision est plus que jamais d’actualité et c’est elle qui nous a animés lorsque l’équipe d’Orgemont a ouvert l’unité de coopération en 2005 et a décidé d’emblée de mettre en place des réunions soignants-soignés.
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Note de contenu : acq février 2016 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21394 ART.NUM 10197 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques, n° 1. Métamorphoses de la demande et fonctionnement institutionnel. Des contenants de la souffrance psychique à tous les niveaux / Marie CONSTANTIN-KUNTZ
Titre de série : Cliniques, n° 1 Titre : Métamorphoses de la demande et fonctionnement institutionnel. Des contenants de la souffrance psychique à tous les niveaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie CONSTANTIN-KUNTZ, Auteur ; Flora SAMBA, Auteur ; Dana CASTRO, Auteur ; Catherine ZOUTE, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 38-52 Note générale : Dans cet article, nous nous proposons d’explorer la manière dont l’institution peut contenir la souffrance psychique exprimée par le patient à partir de sa demande initiale de prise en charge. Nous envisagerons le contenant institutionnel sous une double valence. Au sens du signifiant d’abord : par quels contenants successifs cette souffrance est-elle exprimée puis traduite ; du sujet à l’institution, quel est le vocabulaire utilisé et que peut-il révéler ? Au sens de ce qui reçoit, contient et limite ensuite. L’institution joue, en effet, une fonction pare-excitatrice, à l’instar de la mère qui, aux débuts de la vie, contient l’excitation manifestée par le nouveau-né afin qu’il ne soit pas débordé par les émergences pulsionnelles qui l’envahissent. Le but de l’étude présentée ici, est d’objectiver, à partir des données contenues dans les dossiers, la manière dont la souffrance psychique est reçue puis prise en charge par un Centre médico-psychologique (CMP) de la région parisienne. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq avril 2016 Cliniques, n° 1. Métamorphoses de la demande et fonctionnement institutionnel. Des contenants de la souffrance psychique à tous les niveaux [texte imprimé] / Marie CONSTANTIN-KUNTZ, Auteur ; Flora SAMBA, Auteur ; Dana CASTRO, Auteur ; Catherine ZOUTE, Auteur . - 2011 . - 38-52.
Dans cet article, nous nous proposons d’explorer la manière dont l’institution peut contenir la souffrance psychique exprimée par le patient à partir de sa demande initiale de prise en charge. Nous envisagerons le contenant institutionnel sous une double valence. Au sens du signifiant d’abord : par quels contenants successifs cette souffrance est-elle exprimée puis traduite ; du sujet à l’institution, quel est le vocabulaire utilisé et que peut-il révéler ? Au sens de ce qui reçoit, contient et limite ensuite. L’institution joue, en effet, une fonction pare-excitatrice, à l’instar de la mère qui, aux débuts de la vie, contient l’excitation manifestée par le nouveau-né afin qu’il ne soit pas débordé par les émergences pulsionnelles qui l’envahissent. Le but de l’étude présentée ici, est d’objectiver, à partir des données contenues dans les dossiers, la manière dont la souffrance psychique est reçue puis prise en charge par un Centre médico-psychologique (CMP) de la région parisienne.
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Note de contenu : acq avril 2016 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21415 ART.NUM 10200 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques, n° 10. L'acte dans tous ses états, l'acte sous toutes ses formes / Dominique BOURDIN
Titre de série : Cliniques, n° 10 Titre : L'acte dans tous ses états, l'acte sous toutes ses formes Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique BOURDIN, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 26-37 Note générale : L’acte n’est pas seulement le passage à l’acte. Ce premier niveau de l’agir est expulsif d’une tension interne ; il correspond à un besoin de décharge. À la décharge brute peut s’adjoindre une première mise en forme psychique : est expulsé vers l’extérieur ce qui ne peut être supporté en soi, selon le modèle de la constitution d’un Moi-Plaisir ; l’acte de vengeance en est le prototype, mais le processus peut être moins conscient encore, comme dans ces crimes où la détermination inconsciente est première et rend l’acte incompréhensible à son auteur lui-même. La dimension hallucinatoire est puissante. L’acte prend une signification particulière dans les relations transférentielles où il va être porteur de ce qui n’a pu se dire. Le passage à l’acte au cours d’une thérapie peut être un moment mutatif. Il se distingue de la décharge en ce qu’il est adressé, et garde une liaison avec un ensemble d’expressions psychiques formant une histoire transférentielle. L’acte peut être psychiquement plus élaboré, véritable scénario psychique extériorisé, notamment dans le cadre d’une thérapie où il est implicitement adressé au thérapeute. Il a alors un statut qui se rapproche de celui du rêve, mais n’a pu être contenu dans une élaboration psychique. L’extériorisation tient lieu de représentation. Enfin, il ne faudrait pas oublier que l’acte peut être expression pleine de la vie psychique et relationnelle. L’homme d’action n’est pas psychiquement mutilé ! Certes l’acte peut court-circuiter le fantasme ou éviter le déploiement de l’affect. Mais il peut manifester aussi la capacité à rendre réel le mouvement du désir et à réaliser une satisfaction pulsionnelle concrète. L’acte débouche alors sur l’œuvre. Langues : Français (fre) Cliniques, n° 10. L'acte dans tous ses états, l'acte sous toutes ses formes [texte imprimé] / Dominique BOURDIN, Auteur . - 2015 . - 26-37.
L’acte n’est pas seulement le passage à l’acte. Ce premier niveau de l’agir est expulsif d’une tension interne ; il correspond à un besoin de décharge. À la décharge brute peut s’adjoindre une première mise en forme psychique : est expulsé vers l’extérieur ce qui ne peut être supporté en soi, selon le modèle de la constitution d’un Moi-Plaisir ; l’acte de vengeance en est le prototype, mais le processus peut être moins conscient encore, comme dans ces crimes où la détermination inconsciente est première et rend l’acte incompréhensible à son auteur lui-même. La dimension hallucinatoire est puissante. L’acte prend une signification particulière dans les relations transférentielles où il va être porteur de ce qui n’a pu se dire. Le passage à l’acte au cours d’une thérapie peut être un moment mutatif. Il se distingue de la décharge en ce qu’il est adressé, et garde une liaison avec un ensemble d’expressions psychiques formant une histoire transférentielle. L’acte peut être psychiquement plus élaboré, véritable scénario psychique extériorisé, notamment dans le cadre d’une thérapie où il est implicitement adressé au thérapeute. Il a alors un statut qui se rapproche de celui du rêve, mais n’a pu être contenu dans une élaboration psychique. L’extériorisation tient lieu de représentation. Enfin, il ne faudrait pas oublier que l’acte peut être expression pleine de la vie psychique et relationnelle. L’homme d’action n’est pas psychiquement mutilé ! Certes l’acte peut court-circuiter le fantasme ou éviter le déploiement de l’affect. Mais il peut manifester aussi la capacité à rendre réel le mouvement du désir et à réaliser une satisfaction pulsionnelle concrète. L’acte débouche alors sur l’œuvre.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21517 ART.NUM 10215 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques, n° 10. Entre douleur et comportement, quelle place pour la représentation ? / Anne MAUPAS
Titre de série : Cliniques, n° 10 Titre : Entre douleur et comportement, quelle place pour la représentation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne MAUPAS, Auteur Année de publication : 2015 Importance : pp 56-70 Note générale : Il est fréquent, dans la clinique psychosomatique, de voir coexister chez un même patient un fonctionnement mental marqué par des défauts de représentation, des conduites agies et des somatisations. À partir de la clinique d’une patiente souffrant de fibromyalgie (douleurs diffuses) et présentant différents niveaux de fonctionnement allant du plus névrotique au plus comportemental, l’auteur s’interroge sur ces différents niveaux de mentalisation. À travers son vécu douloureux, cette patiente articule peu à peu le psychique et le somatique. À la faveur de la relation transférentielle, dans le cadre d’un travail de psychothérapie en institution, des remaniements psychiques ont pu s’opérer. L’abandon du fonctionnement en tout ou rien et l’accès à une plus grande passivité à permis au « corps-douloureux » de laisser la place à un « corps-plaisir ». Langues : Français (fre) Cliniques, n° 10. Entre douleur et comportement, quelle place pour la représentation ? [texte imprimé] / Anne MAUPAS, Auteur . - 2015 . - pp 56-70.
Il est fréquent, dans la clinique psychosomatique, de voir coexister chez un même patient un fonctionnement mental marqué par des défauts de représentation, des conduites agies et des somatisations. À partir de la clinique d’une patiente souffrant de fibromyalgie (douleurs diffuses) et présentant différents niveaux de fonctionnement allant du plus névrotique au plus comportemental, l’auteur s’interroge sur ces différents niveaux de mentalisation. À travers son vécu douloureux, cette patiente articule peu à peu le psychique et le somatique. À la faveur de la relation transférentielle, dans le cadre d’un travail de psychothérapie en institution, des remaniements psychiques ont pu s’opérer. L’abandon du fonctionnement en tout ou rien et l’accès à une plus grande passivité à permis au « corps-douloureux » de laisser la place à un « corps-plaisir ».
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21552 ART.NUM 10231 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques, n° 10. Le passage à l'acte / Philippe JEAMMET
Titre de série : Cliniques, n° 10 Titre : Le passage à l'acte Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe JEAMMET, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 72-81 Note générale : Le point commun à la vulnérabilité aux passages à l’acte, et plus généralement aux troubles du comportement et aux pathologies de l’agir, réside dans l’absence d’un sentiment de sécurité interne suffisant qui permette à ces sujets, confrontés à une situation de conflit et de stress, de faire appel à leurs ressources psychiques internes pour pouvoir différer leur réponse à leurs émotions et avoir un minimum de choix quant à la nature de cette réponse. En l’absence de cette sécurité interne ils sont prisonniers de leurs émotions et en quelque sorte « manipulés » par l’entourage, générateur de ces émotions. Alors qu’ils croient choisir leur réponse en suivant leurs émotions immédiates, ils ne font en fait qu’obéir aux contraintes qu’elles leur imposent. L’auteur propose une sorte de cartographie, un repérage clinique, afin de comprendre les enjeux qui sous-tendent les différentes formes d’agir. Langues : Français (fre) Cliniques, n° 10. Le passage à l'acte [texte imprimé] / Philippe JEAMMET, Auteur . - 2015 . - 72-81.
Le point commun à la vulnérabilité aux passages à l’acte, et plus généralement aux troubles du comportement et aux pathologies de l’agir, réside dans l’absence d’un sentiment de sécurité interne suffisant qui permette à ces sujets, confrontés à une situation de conflit et de stress, de faire appel à leurs ressources psychiques internes pour pouvoir différer leur réponse à leurs émotions et avoir un minimum de choix quant à la nature de cette réponse. En l’absence de cette sécurité interne ils sont prisonniers de leurs émotions et en quelque sorte « manipulés » par l’entourage, générateur de ces émotions. Alors qu’ils croient choisir leur réponse en suivant leurs émotions immédiates, ils ne font en fait qu’obéir aux contraintes qu’elles leur imposent. L’auteur propose une sorte de cartographie, un repérage clinique, afin de comprendre les enjeux qui sous-tendent les différentes formes d’agir.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21568 ART.NUM 10246 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques, n° 9. De l'agir destructeur au processus de symbolisation. A propos de la psychothérapie d'un enfant / Aurélie TAINE
Titre de série : Cliniques, n° 9 Titre : De l'agir destructeur au processus de symbolisation. A propos de la psychothérapie d'un enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélie TAINE, Auteur ; Christine CONDAMIN, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 96-115 Note générale : Cet article étudie comment le thérapeute peut accueillir et donner sens aux agirs destructeurs et compulsifs qui se vivent lors de certaines cures d’enfants. Ce besoin d’agirs externalisés semble parfois s’organiser comme une lutte contre une dépression primaire, cherchant à contre-investir un monde psychique terrifiant précocement soumis à un vécu traumatique. L’acte agressif, s’il est entendu comme une souffrance, est aussi une tentative pour trouver une réponse à une angoisse indicible. Il s’agirait alors de créer un environnement thérapeutique métaphorisant les relations précoces afin de sortir de l’indifférenciation primaire et de déployer un processus de symbolisation. Langues : Français (fre) Cliniques, n° 9. De l'agir destructeur au processus de symbolisation. A propos de la psychothérapie d'un enfant [texte imprimé] / Aurélie TAINE, Auteur ; Christine CONDAMIN, Auteur . - 2015 . - 96-115.
Cet article étudie comment le thérapeute peut accueillir et donner sens aux agirs destructeurs et compulsifs qui se vivent lors de certaines cures d’enfants. Ce besoin d’agirs externalisés semble parfois s’organiser comme une lutte contre une dépression primaire, cherchant à contre-investir un monde psychique terrifiant précocement soumis à un vécu traumatique. L’acte agressif, s’il est entendu comme une souffrance, est aussi une tentative pour trouver une réponse à une angoisse indicible. Il s’agirait alors de créer un environnement thérapeutique métaphorisant les relations précoces afin de sortir de l’indifférenciation primaire et de déployer un processus de symbolisation.
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21534 ART.NUM 10222 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques, N°4. "Je suis venu vous dire que je m'en vais" : un groupe de PHOTOLANGAGE à l'épreuve de la perte / Anaïs RESTIVO-MARTIN
Titre de série : Cliniques, N°4 Titre : "Je suis venu vous dire que je m'en vais" : un groupe de PHOTOLANGAGE à l'épreuve de la perte Type de document : texte imprimé Auteurs : Anaïs RESTIVO-MARTIN, Auteur ; Vincent CHARAZAC, Auteur Année de publication : 2012 Importance : 48-64 Note générale : À travers le cas clinique d’un groupe Photolangage©, nous explorons différents destins de la perte, de la mélancolisation au travail de deuil via la position dépressive. Ce groupe va se centrer sur la problématique du conflit générationnel, qui permet d’expérimenter la survie à la perte et de mettre au travail la question du passage d’un couple thérapeutique à un autre. SOURCE : revue
Langues : Français (fre) Note de contenu : acq juin 2013 Cliniques, N°4. "Je suis venu vous dire que je m'en vais" : un groupe de PHOTOLANGAGE à l'épreuve de la perte [texte imprimé] / Anaïs RESTIVO-MARTIN, Auteur ; Vincent CHARAZAC, Auteur . - 2012 . - 48-64.
À travers le cas clinique d’un groupe Photolangage©, nous explorons différents destins de la perte, de la mélancolisation au travail de deuil via la position dépressive. Ce groupe va se centrer sur la problématique du conflit générationnel, qui permet d’expérimenter la survie à la perte et de mettre au travail la question du passage d’un couple thérapeutique à un autre. SOURCE : revue
Langues : Français (fre)
Note de contenu : acq juin 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21070 ART.NUM 10125 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques, n°4. Le vécu d'impuissance chez le soignant : entre pertes et élan retrouvé / Séverine DELIEUTRAZ
Titre de série : Cliniques, n°4 Titre : Le vécu d'impuissance chez le soignant : entre pertes et élan retrouvé Type de document : texte imprimé Auteurs : Séverine DELIEUTRAZ, Auteur Année de publication : 2012 Importance : 146-162 Note générale : Au cours de leur parcours professionnel, les soignants peuvent parfois éprouver un vécu d’impasse lors de certaines prises en charge. Comment ce vécu peut-il être pensé et ainsi dépassé ? Au cours de la réflexion, il apparaîtra que, bien souvent, le soignant devra lui-même entrer dans un processus de renoncement pour mieux « prendre soin » et vivre sa profession de manière plus apaisée. SOURCE : revue Langues : Français (fre) Note de contenu : acq juin 2013 Cliniques, n°4. Le vécu d'impuissance chez le soignant : entre pertes et élan retrouvé [texte imprimé] / Séverine DELIEUTRAZ, Auteur . - 2012 . - 146-162.
Au cours de leur parcours professionnel, les soignants peuvent parfois éprouver un vécu d’impasse lors de certaines prises en charge. Comment ce vécu peut-il être pensé et ainsi dépassé ? Au cours de la réflexion, il apparaîtra que, bien souvent, le soignant devra lui-même entrer dans un processus de renoncement pour mieux « prendre soin » et vivre sa profession de manière plus apaisée. SOURCE : revue
Langues : Français (fre)
Note de contenu : acq juin 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21069 ART.NUM 10124 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques méditerranéennes, n 95. Traduit-on la sexualité ? Un dialogue entre la psychanalyse et les études de genre
Titre de série : Cliniques méditerranéennes, n 95 Titre : Traduit-on la sexualité ? Un dialogue entre la psychanalyse et les études de genre Type de document : texte imprimé Année de publication : 2017 Importance : 35-48 Note générale : Le présent article traite de la question de la normativité dans la cure psychanalytique à travers l’idée de traduisibilité : est-il possible d’établir une traduction entre thématiques psychanalytiques et questions propres aux études de genre ? Nous proposons des éléments de réponse à partir des travaux de Monique David-Ménard et de Judith Butler. Langues : Français (fre) Cliniques méditerranéennes, n 95. Traduit-on la sexualité ? Un dialogue entre la psychanalyse et les études de genre [texte imprimé] . - 2017 . - 35-48.
Le présent article traite de la question de la normativité dans la cure psychanalytique à travers l’idée de traduisibilité : est-il possible d’établir une traduction entre thématiques psychanalytiques et questions propres aux études de genre ? Nous proposons des éléments de réponse à partir des travaux de Monique David-Ménard et de Judith Butler.
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21640 ART.NUM 10263 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Cliniques méditerranéennes, n° 98. Les métamorphoses du sujet à l'ère du virtuel : enjeux contemporains d'une clinique hypermoderne / Elsa GODART
Titre de série : Cliniques méditerranéennes, n° 98 Titre : Les métamorphoses du sujet à l'ère du virtuel : enjeux contemporains d'une clinique hypermoderne Type de document : texte imprimé Auteurs : Elsa GODART, Auteur Année de publication : 2018 Importance : 25-46 Note générale : Notre monde semble soumis à nombre de métamorphoses qui viennent jusqu’à interroger les fondements même de l’humanité en l’homme. Ce monde c’est celui de l’hypermodernité et de la virtualité, produisant un nouvel éthos. Or, si le monde se métamorphose, et en se métamorphosant produit de nouveaux comportements, qu’en est-il des répercussions qu’il peut y avoir sur le sujet ? Qu’en est-il des métamorphoses du sujet à l’ère du virtuel ? Cette question nous conduit à analyser dans un premier temps l’essence même de ces probables métamorphoses ( nous présentons plusieurs changements de paradigmes fondamentaux : le rapport au temps et à l’espace et le passage d’une société dominée par la raison (logos) à une société régie par le règne d’images-éphémères (eidôlon) ; ainsi que l’importance de l’avénement d’une société de la jouissance au détriment d’une société du désir) ; puis dans un second temps, de réfléchir sur l’impact de ces métamorphoses sur la subjectivité. À la suite de cela, nous avons mis au jour l’importance de ce mouvement propre à la métamorphose dans lequel s’inscrit le sujet : subjectivation/désubjectivation/resubjectivation. Ce mouvement, ces métamorphoses, – qui donnent lieu à des symptômes hybrides, entre le normal et le pathologique, ce que l’auteur appelle des « malaises » – aboutissent à une subjectivité augmentée. Langues : Français (fre) Catégories : DEQ nouvelles technologies Cliniques méditerranéennes, n° 98. Les métamorphoses du sujet à l'ère du virtuel : enjeux contemporains d'une clinique hypermoderne [texte imprimé] / Elsa GODART, Auteur . - 2018 . - 25-46.
Notre monde semble soumis à nombre de métamorphoses qui viennent jusqu’à interroger les fondements même de l’humanité en l’homme. Ce monde c’est celui de l’hypermodernité et de la virtualité, produisant un nouvel éthos. Or, si le monde se métamorphose, et en se métamorphosant produit de nouveaux comportements, qu’en est-il des répercussions qu’il peut y avoir sur le sujet ? Qu’en est-il des métamorphoses du sujet à l’ère du virtuel ? Cette question nous conduit à analyser dans un premier temps l’essence même de ces probables métamorphoses ( nous présentons plusieurs changements de paradigmes fondamentaux : le rapport au temps et à l’espace et le passage d’une société dominée par la raison (logos) à une société régie par le règne d’images-éphémères (eidôlon) ; ainsi que l’importance de l’avénement d’une société de la jouissance au détriment d’une société du désir) ; puis dans un second temps, de réfléchir sur l’impact de ces métamorphoses sur la subjectivité. À la suite de cela, nous avons mis au jour l’importance de ce mouvement propre à la métamorphose dans lequel s’inscrit le sujet : subjectivation/désubjectivation/resubjectivation. Ce mouvement, ces métamorphoses, – qui donnent lieu à des symptômes hybrides, entre le normal et le pathologique, ce que l’auteur appelle des « malaises » – aboutissent à une subjectivité augmentée.
Langues : Français (fre)
Catégories : DEQ nouvelles technologies Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21780 ART.NUM 10290 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Dialogue, 187. Un attribut du féminin : le voile / Florence BECAR
Titre de série : Dialogue, 187 Titre : Un attribut du féminin : le voile Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence BECAR, Auteur Année de publication : 2010 Importance : 85-98 Langues : Français (fre) Catégories : PSYCHANALYSE:institution, société, culture Dialogue, 187. Un attribut du féminin : le voile [texte imprimé] / Florence BECAR, Auteur . - 2010 . - 85-98.
Langues : Français (fre)
Catégories : PSYCHANALYSE:institution, société, culture Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20505 ART.NUM 10021 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible